le fromage pressé, au 1er siècle av. J.C.
chers CHEVALIERS RONDS DE LA TABLE, voici venu la saga des FROMAGES A PÂTE PRESSEE. ces FROMAGES sont principalement au LAIT DE VACHE mais pas que, de production montagnarde, résultant des estives (transhumances) mais pas que, de format moyen ou gros, comme les tommes (tomes) ou les meules, de saison hivernale mais pas que, pasteurisés ou au lait cru, à PÂTE CUITE ou NON CUITE, et les PÂTES CUITES peuvent avoir des TROUS mais pas nésessairement, ou peu. Les CAILLéS de ses FROMAGES sont d'abord rompus, c'est à dire réduits de petites tailles,afin d'en extraire le plus de petit lait, puis séparés du petit lait (partie liquide résultant du caillage), puis presses, moulés et salés par bain de saumure. Ils sont ensuite affinés durant plusieurs mois en étant frottés, et retournés, afin d'éviter le développement de moisissures ou afin de les saler s'ils n'ont de eu de salage par bain. ces FROMAGES à CROÛTE épaisse subissent le plus long temps d'affinage des FROMAGES, et sont souvent employés dans la cuisine: RAPé, FONDU, RACLETTE et autres TARTIFLETTES, GRATTINS et PIZZAS. Quoi vous dire d'autres; qu'il faut environ 10 L de LAIT pour faire 1 KG de FROMAGE, qu'ils sont gras car ils ont un taux d'humidité faible, qu'ils sont chauffés (cuits) avant la séparation du caillé et du petit lait. CHEVALIERS RONDS, veuillez faire honneur aux GRUYERE, EMMENTAL, COMTE, CANTAL, LAGUIOLE, SALERS, ST-NECTAIRE, BETHHMALE, MORBIER, CHESHIRE, CHEDDAR, EDAM, GOUDA, ST-PAULIN, PORT-SALUT, BABY-BEL et autres TOMMES en tous genres... alors fondez sur cette quarantaine de billets...